Quel joli voyage dans l'imaginaire des créateurs, on rêve d'avoir une de ces cabanes au fond du jardin. Ma mini version sur le blog de Ginger... Bisous
La première cabane était sonorisée et la musique était un peu du style de Chinese Man ; il fallait s'y installer et regarder : elle était foisonnante de détails...on aurait dit la cabane de Carmen Cru! Dans la cabane en herbe, il valait mieux ne pas y séjourner, surtout avec un appareil photo : c'était un immense brumisateur entouré d'un labyrinthe. La troisième était en fait une composition de quatre maisons éventrées, regroupées autour d'un énorme trou de serrure... et je n'ai pas tout vu !!! Il était déjà tard et nous nous sommes bien laissé enfermer dans le jardin comme on nous l'avait conseillé à l'accueil... magique!! Mais j'y retournerai pour assister à une nocturne!
La "Lison aux oies" de Hansi. Approche d'intimidation des oies sauvages d'Avolsheim, prêtes à défendre leur territoire ! Pas impressionnée le moins du monde, notre "Gänseliesel" ! Les oies étaient aussi grandes qu'elle et plutôt offensives ! Par cette bise mordante, pas de coiffe mais un bonnet de laine bien chaud, tricoté avec des restes au point de godron ; une bordure au point de feuille est superposée au bord côtes. Sous le regard des gargouilles du presbytère... Pendant que Dame Cigogne somnolait, le bec dans son jabot
Des sables d'or bretons aux hautes chaumes vosgiennes En quête de quelques flocons de neige Il ne restait que des plaques à vent ! Un pull lopi enfant (6-8 ans) en laine Basic Merino de Katia Commencé ici, continué sur la route, là-bas et terminé ici. Le pull de la Reine des neiges pour Joanne ! Une grosse myrtille !
pour ces deux vestes C'est tout à fait par hasard que j'ai poussé la porte de cette boutique ( Bibop & Lula ) dans le vieux Vannes... et là, dans cet univers coloré, sur le comptoir, des rouleaux d'imprimés indiens matelassés, ils venaient d'arriver, n'étaient même pas encore étiquetés ! Impossible de quitter des yeux ces tissus qui faisaient resurgir un souvenir des années soixante-dix : une veste rouge framboise achetée dans le quartier de la cathédrale à Strasbourg... un souvenir de mes jeunes années ! Eh bien, j'ai craqué !!! Les vestes ont été bâties à partir d'un patron de La Maison Victor que j'ai modifié : j'ai remplacé la capuche par un col droit ( une autre version ICI ) et la fermeture à glissière par des boutons. Première veste T38 , je l'ai raccourcie de six centimètres Des boutons en terre cuite qui proviennent de la boutique de Laines à l'Ouest. Le biais du pourtour est coupé dans un velours milleraies ; le biais de
Quel joli voyage dans l'imaginaire des créateurs, on rêve d'avoir une de ces cabanes au fond du jardin. Ma mini version sur le blog de Ginger...
RépondreSupprimerBisous
Je n'ai pas ce type de rêve... mais les cabanes ont déclenché l'hilarité de mon objectif !!! :-)))
Supprimerétonnant
RépondreSupprimersurprenant
foisonnant
Que peut bien -t-on y faire????
La première cabane était sonorisée et la musique était un peu du style de Chinese Man ; il fallait s'y installer et regarder : elle était foisonnante de détails...on aurait dit la cabane de Carmen Cru! Dans la cabane en herbe, il valait mieux ne pas y séjourner, surtout avec un appareil photo : c'était un immense brumisateur entouré d'un labyrinthe. La troisième était en fait une composition de quatre maisons éventrées, regroupées autour d'un énorme trou de serrure... et je n'ai pas tout vu !!! Il était déjà tard et nous nous sommes bien laissé enfermer dans le jardin comme on nous l'avait conseillé à l'accueil... magique!!
SupprimerMais j'y retournerai pour assister à une nocturne!
Wouah !
RépondreSupprimerJ'ai eu la même réaction!
SupprimerJe rêve d'assister à une nocturne!