Quand les pesticides reculent, les coquelicots réapparaissent ! Donc pas de nostalgie, mais beaucoup d'espoir de voir d'année en année ces étendues vert-jaunes se colorer de taches rouges toujours plus nombreuses.
c'est vrai que ces champs de coquelicots sont toujours superbes!!! et je remarque que par chez moi, ils avaient disparu mais reviennent... et ça, c'est chouette!
Oui, c'est chouette... malheureusement d'autres fleurs sauvages sont toujours portées disparues ici : je pense à la sauge, au bleuet et bien d'autres que ma main d'enfant connaissait parfaitement et dont je n'ai jamais su le nom ! Bon, dans le même ordre d'idées : certains chemins réapparaissent et c'est bien ! Es-tu allée à la fête du lin cette année ?
Quelle émotion lorsque j'ai aperçu ce champ ! Cela faisait tellement longtemps ! Et puis un souvenir en appelant un autre... Radioscopie est pour moi une madeleine inestimable, c'était aussi un point d'ancrage lorsque j'étais à l'étranger, je manquais rarement une émission ;-) Bises
Des sables d'or bretons aux hautes chaumes vosgiennes En quête de quelques flocons de neige Il ne restait que des plaques à vent ! Un pull lopi enfant (6-8 ans) en laine Basic Merino de Katia Commencé ici, continué sur la route, là-bas et terminé ici. Le pull de la Reine des neiges pour Joanne ! Une grosse myrtille !
pour ces deux vestes C'est tout à fait par hasard que j'ai poussé la porte de cette boutique ( Bibop & Lula ) dans le vieux Vannes... et là, dans cet univers coloré, sur le comptoir, des rouleaux d'imprimés indiens matelassés, ils venaient d'arriver, n'étaient même pas encore étiquetés ! Impossible de quitter des yeux ces tissus qui faisaient resurgir un souvenir des années soixante-dix : une veste rouge framboise achetée dans le quartier de la cathédrale à Strasbourg... un souvenir de mes jeunes années ! Eh bien, j'ai craqué !!! Les vestes ont été bâties à partir d'un patron de La Maison Victor que j'ai modifié : j'ai remplacé la capuche par un col droit ( une autre version ICI ) et la fermeture à glissière par des boutons. Première veste T38 , je l'ai raccourcie de six centimètres Des boutons en terre cuite qui proviennent de la boutique de Laines à l'Ouest. Le biais du pourtour est coupé dans un velours milleraies ; le biais de
La "Lison aux oies" de Hansi. Approche d'intimidation des oies sauvages d'Avolsheim, prêtes à défendre leur territoire ! Pas impressionnée le moins du monde, notre "Gänseliesel" ! Les oies étaient aussi grandes qu'elle et plutôt offensives ! Par cette bise mordante, pas de coiffe mais un bonnet de laine bien chaud, tricoté avec des restes au point de godron ; une bordure au point de feuille est superposée au bord côtes. Sous le regard des gargouilles du presbytère... Pendant que Dame Cigogne somnolait, le bec dans son jabot
Quand les pesticides reculent, les coquelicots réapparaissent ! Donc pas de nostalgie, mais beaucoup d'espoir de voir d'année en année ces étendues vert-jaunes se colorer de taches rouges toujours plus nombreuses.
RépondreSupprimerLes hommes, deviendraient-ils raisonnables ?...
Supprimerc'est vrai que ces champs de coquelicots sont toujours superbes!!! et je remarque que par chez moi, ils avaient disparu mais reviennent... et ça, c'est chouette!
RépondreSupprimerOui, c'est chouette... malheureusement d'autres fleurs sauvages sont toujours portées disparues ici : je pense à la sauge, au bleuet et bien d'autres que ma main d'enfant connaissait parfaitement et dont je n'ai jamais su le nom !
SupprimerBon, dans le même ordre d'idées : certains chemins réapparaissent et c'est bien !
Es-tu allée à la fête du lin cette année ?
comme tu dis, des souvenirs, des chansons, des images
RépondreSupprimerune fleur sauvage dans les blés
Quelle émotion lorsque j'ai aperçu ce champ ! Cela faisait tellement longtemps !
SupprimerEt puis un souvenir en appelant un autre... Radioscopie est pour moi une madeleine inestimable, c'était aussi un point d'ancrage lorsque j'étais à l'étranger, je manquais rarement une émission ;-)
Bises
J'adore les coquelicots ! Je me réjouis de les voir fleurir !
RépondreSupprimerLe fait qu'ils soient si fragiles et si éphémères leur donne de la valeur ;)
Bises